Ville de Lunéville

Interventions bornes incendie

Depuis début mars, la mise aux normes des pressions des bornes incendie se poursuit dans toute la ville.

Le 16 avril, les techniciens interviendront dans le secteur Edmond Delorme – 3e Régiment de Cuirassiers – Lamartine, entre 8h et 14h.

Le 18 avril, les techniciens interviendront dans le secteur Sébastien Keller – Lotissement Belle Vue – Marquise du Châtelet, entre 8h et 14h.

👉 Suite à ces interventions, il est possible qu’il y ait des baisses de pression et que de l’eau jaune sorte des robinets mais le retour à la normale se fera dans la journée.

Journée de lutte contre les discriminations

Mercredi 20 mars s’est tenue une nouvelle édition de la Journée de lutte contre les discriminations, organisée par la Ville.

Au Réservoir, les participants (enfants, ados, usagers des accueils de loisirs de la ville, du Conseil citoyen de Niederbronn-Zola, de l’Ecole de la 2e Chance, du FAS de la Barollière, de l’AEIM de St-Nicolas-de-Port…) se sont succédé sur les différents stands et ateliers tenus par les associations et structures partenaires : ALAJI, ASAL, Aliscia, CIDFF, CCTLB (Médiathèque), Les Epis, Handisport,  Ligue de l’Enseignement 54.

Au programme : stand sur les discriminations, exposition sur le droit des enfants, jeu de memory, bingo d’inclusion, animation sur le handicap et le vieillissement, jeu de l’oie sur le thème des discriminations, sport de combat adapté, tir à la carabine laser, curling...

Spectacles participatifs (théâtre d’improvisation) ont aussi été proposés, à l’initiative de la Compagnie Les Poissons Rouges.

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Projet de réhabilitation de la rue de Viller

Lundi 11 mars, la Ville a présenté aux Lunévillois et plus particulièrement aux riverains de la rue de Viller, les aménagements futurs de cette artère en entrée de ville.  

Ce projet a fait l’objet d’une concertation avec les habitants en lien avec le cabinet d’architectes Studiolada. A l’issue des trois réunions de concertation qui se sont tenues en décembre dernier, les professionnels ont travaillé pour élaborer un projet répondant aux attentes des riverains et aux contraintes techniques liées à cette voie.

Le projet de restructuration, présenté lundi soir en réunion publique, parvient à concilier au mieux les attentes des riverains et à renforcer l’esthétisme de la rue. Dans ce sens, Catherine PAILLARD, Maire de Lunéville, a demandé que la prochaine OPAH’RU* portée par la Communauté de communes de Lunéville à Baccarat (CCTLB) puisse intégrer la rue de Viller dans ledit programme.

Afin de rompre avec l’aspect linéaire et minéral de cette voie, le projet vise à végétaliser la rue. Des parterres de plantes seront créés. Les sols seront désimperméabilisés.

De nouveaux espaces végétalisés seront aussi créés dans la partie la plus large de la rue avec notamment l’installation d’un terre-plein central dans la partie basse de la rue. Les arbres malades seront remplacés par de nouvelles espèces.

Le parvis de l’ex église Saint Maur qui accueillera, à moyen terme, un musée dédié à la faïence, sera végétalisé.

Dans la partie la plus étroite de l’artère, la ville favorisera, sur les bâtiments publics, la végétalisation des pieds de murs et des façades. Cette initiative pourra aussi être étendue aux habitations privées qui le souhaitent avec mise en œuvre du permis de végétaliser.

Les réseaux électriques seront également enfouis.

Quant au stationnement, il sera conservé voire augmenté. Concrètement un parking d’une douzaine de places sera créé devant la salle Saint Maur. L’accès au parking de la Faïencerie sera facilité grâce à l’ouverture d’une voie piétons sécurisée (signalétique, éclairage…).

A titre d’expérimentation et afin d’optimiser le stationnement, des places en épis, rue de l’abbé RENARD, seront créées.

Le double sens de circulation sera maintenu et un dispositif visant à apaiser la vitesse mis en place.

En pratique, pour réduire la vitesse, plusieurs chicanes seront installées. Celles-ci autoriseront le passage des cyclistes et du vélo-bus. Les intersections seront rehaussées au maximum et les feux tricolores seront conservés à l’intersection Cosson/Trouillet/Viller afin de sécuriser les sorties des élèves et faciliter le passage des bus scolaires. La signalétique de cette artère à 30km/h sera renforcée.

Ces travaux s’accompagneront de travaux d’assainissement réalisés par la communauté de communes de Lunéville à Baccarat (CCTLB), compétente en la matière. L’enfouissement des réseaux électriques sera réalisé par le Syndicat départemental de l’Electricité (SDE).
Ces chantiers devront être réalisés au préalable et avant toute intervention de la ville.

A ce jour, il est prématuré pour la Ville d’arrêter le calendrier des travaux qui est conditionné en amont, à l’intervention de la CCTLB et du SDE.

*Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat- Renouvellement Urbain

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Semaine petite enfance

Le pôle petite enfance du CCAS de Lunéville participe une nouvelle fois à la Semaine nationale de la petite enfance, du 16 au 23 mars 2024.

L’ensemble des structures proposeront des animations à destination du public qu’elles accueillent autour du thème national “Viens je t’emmène”.

– multi-accueil “L’Île aux Enfants” / 03 83 74 37 67
Tout au long de la semaine, les enfants accueillis dans les groupes des moyens et des grands pourront naviguer entre les deux sections et choisir les ateliers auxquels ils souhaitent participer.

Mardi 19 mars à 18h, une conférence sur le thème des violences éducatives ordinaires sera proposée aux familles fréquentant la structure. Cette conférence sera animée par le Dr Bernard.

Le samedi 23 mars clôturera la semaine avec une ouverture de l’établissement aux familles de 9h à 12h (ateliers autour du thème de la nature).

– halte-jeux “Le Donjeux” / 03 83 76 48 55
Cette structure proposera aux adultes de voir le monde avec un regard d’enfant notamment grâce à la maxi-cuisine de l’Eco Appart, à une animation autour du détournement d’objets et un parcours de motricité enfants-parents.

Une sieste sonore et un atelier parents autour des émotions seront aussi proposées aux familles.

Un jeu de l’oie, ouvert à tous, sera proposé à la ludothèque le mercredi 20 mars.

– Relais Petite Enfance (RPE) / 03 83 72 84 17
Une activité différente sera proposée chaque jour. 4 thèmes seront à découvrir par les enfants et les assistantes maternelles :
viens je t’emmène au vert, je t’emmène dans l’espace, je t’emmène faire le tour du monde, je t’emmène au pays des sens.
Le service des parcs et jardins de la Ville et la musicienne intervenante participeront à cette semaine de découvertes.

Une soirée à destination des familles, enfants et assistantes maternelles bénéficiaires du service permettra aux enfants de dire “viens je t’emmène dans mon univers”.

– dispositif “Graines de maternelles”
Le vendredi 22 mars, une animation autour des insectes sera proposée à l’école Alsace, avec un jeu d’observation et la construction d’une maison à insectes (en lien avec le service Parcs et Jardins de la Ville).

– Dispositif de Réussite Educative  (DRE) / 03 83 76 23 40
Mercredi 20 mars, parents et enfants de l’atelier langage participeront à la plantation de framboisiers dans les jardins partagés du quartier Niederbronn, suivie d’une présentation et d’une dégustation de fruits.

Seniors en vacances

Chaque année, la Communauté de Communes du Territoire de Lunéville à Baccarat propose des séjours à destination des seniors retraités ou sans activité du territoire.

Le programme ‘Seniors en vacances’ s’appuie sur une offre de séjour de qualité, pensée pour les seniors. Des séjours tout compris (pension complète, excursions, activités) selon une tarification claire et juste, avec possibilité d’une aide financière via l’ANCV (sous condition de revenus ou de statut).

Pour 2024, deux séjours sont proposés en Occitanie :
– Saint-Pierre-la-Mer du 12 au 19 juin
– Gruissan du 15 au 22 septembre

Inscriptions ouvertes entre le 18 mars et le 1er avril 2024.

Tous les renseignements et les tarifs sur le site de la CCTLB – Cliquez ici

Zones d’Accélération d’Énergies Renouvelables

Le Plan de Repérage des Zones d’Accélération d’Énergies Renouvelables est une initiative novatrice visant à identifier les régions propices au déploiement rapide des énergies renouvelables. En cartographiant les ressources solaires, éoliennes et de biomasse, ce plan permettra une utilisation optimale des capacités naturelles pour produire de l’énergie propre. En intégrant les contraintes environnementales et sociales, il assure également une approche équilibrée et durable. Ce plan stratégique définira les priorités d’investissement et guidera la mise en œuvre de politiques incitatives, favorisant ainsi une transition énergétique efficace et respectueuse de l’environnement.

Découvrez le dossier en cliquant ici :

Exprimez-vous jusqu’au 14 mars 2024 en écrivant à
zaenr@mairie-luneville.fr

test 360 – partie 5

MODE D’EMPLOI :
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Cliquez sur l’image et en maintenant cliqué bougez votre souris pour voir l’image sous différents angles.

Complexe Charles Berte



Histoire de la croix de mission

Le 11 mars 2023 un sympathique groupe de l’association Lunéville motos US mené par M. Demange a consacré toute une matinée à faire sortir de l’oubli un élément du patrimoine lunévillois situé en bordure de la route d’Einville : avec l’autorisation et le soutien de la ville de Lunéville qui avait mis à sa disposition un conteneur à déchets verts, il dégagé de l’enveloppe de feuillages qui la masquait (photo ci-dessous) une croix de mission qui, loin d’être un élément anecdotique, s’inscrit dans l’histoire de Lunéville depuis près de trois siècles.

La croix cachée par le feuillage
Les motards qui l’ont dégagée

L’origine de cette croix remonte en effet au roi Stanislas Leszczynski puisqu’elle a été posée le Ier juin 1742 à l’issue d’une mission prêchée à Lunéville par les Jésuites en présence du dernier duc de Lorraine et roi de Pologne, qui, le 28 du même mois, affecta 3000 livres pour y fonder une procession. Les fidèles partant de l’église paroissiale Saint-Jacques étaient appelés à partir en procession vers cette croix chaque octave de la fête du Saint-Sacrement : cette octave correspondait à la Fête du Sacré Coeur de Jésus, une dévotion que Stanislas partageait avec sa fille la reine de France, Marie Leszczynska, et qu’il avait développée en Lorraine. Un accord fut passé avec les chanoines réguliers de l’abbaye Saint-Remy comme curés primitifs de l’église paroissiale Saint-Jacques, le procureur syndict de l’hôtel de ville et les Jésuites du Noviciat de Nancy : il stipulait notamment que ces derniers devaient fournir un premier prédicateur qui prononcerait ce jour-là un sermon lors de la messe à l’église Saint-Jacques, et un second qui devait prêcher au pied de la croix à l’issue de la procession1.

La croix ne trouvait pas à son emplacement actuel, mais un peu plus bas vers la ville. Tournée vers Lunéville dont elle assurait la protection, elle était en effet initialement plantée non loin du parc des Bosquets en partant vers Jolivet, au sein d’un terrain quadrangulaire qui se trouvait à l’intersection du chemin (ou route) de Jolivet et de la rue dite des Carmes (qui prit ensuite le nom de la rue de la croix de mission puis de la Belle croix). Elle est visible sur une série de plans anciens de Lunéville de la fin du XVIIIe à la fin du XIXe siècle. (voir ci-dessous les extraits de plans de Lunéville et en rouge l’emplacement de la croix)

1788
1816
1837
1856

Endommagée lors de la révolution, elle a été restaurée en 1804, peu après la reprise d’une vie paroissiale en 1803, par le nouveau curé de Saint-Jacques le Père Nicolas Blampain qui était un ancien chanoine régulier de l’abbaye Saint-Remy : la date de 1804 se retrouve sur le socle actuel. Des points de fixation laissent penser qu’il y avait aussi une plaque qui a aujourd’hui disparu.

Socle dégagé en 2023

D’après Albert Jacquot, en 1825 ou 1826 – soit peu avant une mission jésuite à Lunéville qui s’est tenue en 1828 – la croix endommagée aurait été remplacée par une très belle croix sculptée venant de La Malgrange2 : cette croix appelée la « Belle croix » était aussi due à Stanislas qui l’avait fait ériger dans le parc de son château de la Malgrange aux portes de Nancy en cloture d’une mission jésuite qui s’était déroulée à Nancy en 17393. La croix de Lunéville appelée aussi la Belle Croix aurait ainsi porté ce nom en raison de ce transfert.

Une gravure de Fontbronne de 1742 (voir ci-dessous) donne une idée de l’apaprence de cette Belle croix de la Malgrange : elle se présentait sous la forme d’une haute croix sur laquelle était cloué un Christ sculpté et peint. Protégée par un balaquin monumental, elle était entourée de 12 chapelles peintes par Joseph Provençal représentant les épisodes de la Passion (cf. plan du recueil d’Emmanuel Héré). Si le témoignage d’Albert Jacquot est exact, c’est cette croix qui aurait été ensuite installée à Lunéville et l’une des rares descriptions conservée de cette croix lunévilloise, et datant de 1898, semblerait le corroborer puisqu’elle fait état d’un “beau Christ sculpté en bois”.

La Belle croix de la Malgrange (dessin de 1742 et plan d’Emmanuel. Héré)

Malheureusement cette Belle croix fut abattue en 1878 lors d’une violente tempête et ses débris restèrent entreposés quelques temps dans les sous-sols de la mairie de Lunéville. Mais, vingt ans plus tard, elle put être restaurée à l’instigation du curé de Lunéville l’abbé Fruminet et réinstallée solennellement à l’issue de la procession du vendredi saint 1898 suivie par 2000 personnes, lors d’une grande mission jésuite qui concernait toute la ville de Lunéville4.

Mais l’histoire de cette croix ne s’arrête pas là. En 1901 la Société du chemin de fer d’Einville qui construisait un tramway reliant Lunéville à Einville avait prévu d’édifier une gare à Jolivet ; dans ce but elle avait acquis un terrain dans lequel était enclavé celui où était érigée la croix. Si le monument de la croix appartenait à la paroisse Saint-Jacques, ce terrain de 2 ares relevait, lui, de la ville et lui avait été cédé par le comte Henri Adolphe de Frawenberg alors maire de Lunéville (N.B. : il fut nommé maire en 1823 et décéda en 1845). Un accord fut néanmoins trouvé : la paroisse acceptait que la croix soit transférée à l’extrémité du faubourg d’Einville sur un terrain situé à « l’angle aigu formé par l’ancienne et la nouvelle route d’Einville » appartenant à la ville qui y autorisa le déplacement de la croix : elle y fut réinstallée aux frais de la Société de chemin de fer, laquelle récupérait le terrain initial route de Jolivet pour y construire la gare5.

Parcelle initiale de la croix de mission. Archives municipales de Lunéville
Carte postale ancienne : la gare de Lunéville-Jolivet
Extrait du plan de Lunéville en 1911 : on y voit la gare de Lunéville- Jolivet et le nouvel emplacement de la croix de mission

Mais la Belle croix installée sur son nouveau site a dû être endommagée (lors de la Première Guerre mondiale ?), car elle a ensuite laissé la place à une autre croix, plus simple, en bois de chêne, qui ne comportait, elle, pas de Christ sculpté : cette nouvelle croix a peut-être pris place en 1934 comme pourrait le laisser supposer la date gravée sur la partie arrière du socle en pierre. Cette croix, très endommagée au début des années 1970, a été déposée par les services municipaux de la ville de Lunéville et remplacée à son tour en 1973 par une croix réalisée à l’identique dans les ateliers municipaux par M. Antoine Salm qui se souvient avoir inscrit la date de son installation au revers de la croix en bois : il s’agit de la croix qui vient d’être dégagée où l’on peut lire en effet la date du 24 octobre 1973.

La date du 24-10-73 visible au dos de la croix dégagée en 2023

Et la dernière étape de l’histoire de cette croix jalonnée de multiples péripéties est le nettoyage du 11 mars 2023… Un grand merci et bravo aux généreux et courageux motards qui ont permis de trouver ce témoignage du patrimoine et de l’histoire de Lunéville !

Le groupe qui a dégagé la croix


1
Nicolas-Léopold MICHEL, Recueil des fondations et établissemens faits par le roi de Pologne, Nancy, Messuy, 1762, p. 69, cf. Henri LEPAGE, Les communes de la Meurthe, Nancy, Lepage, 1853, t. I, p. 669.

2 Albert JACQUOT, « Claude Joseph Gilles », Réunion des sociétés des beaux-arts des départements, 1893, p. 654.

3 Louis LALLEMENT, Le château de la Malgrange, notice historique et descriptive, Nancy, Lepage, 1852, p. 31. Elle a ensuite été transportée près de Notre-Dame de Bonsecours (C. PFISTER, Histoire de Nancy, t. III, Nancy, Berger Levrault, 1902-1909, p. 393) puis abimée lors de la révolution elle a disparu mais fut sans doute mise à l’abri avant d’être restaurée et transportée à Lunéville

4 « France, mission de Lunéville, Carême 1898 » Lettres de Jersey, Volume XVIII, Number 1, 1 June 1899, Jesuites online library, p. 61-69.

5 Archives municipales de Lunéville, D 55. Documents mentionnés par Marc GABRIEL, Le petit train de Lunéville à Einville et Jolivet, un tramway urbain dans Lunéville, un tacot dans la campagne lunévilloise, Lunéville, s. e., 2012, p. 13-14. Cette gare aujourd’hui détruite correspond aux anciens bâtiments Roch.

Journée franco-allemande

Le 22 janvier 1963, le Général de Gaulle et le Chancelier Adenauer signaient le traité de l’Élysée, scellant la réconciliation entre la France et l’Allemagne.

40 ans plus tard, cette date du 22 janvier revenait sur le devant de la scène avec l’instauration d’une “Journée franco-allemande”.

Cette année, cette journée était organisée à Lunéville le vendredi 19 janvier. Dans les locaux de la Médiathèque de l’Orangerie, Marie Viroux, conseillère municipale déléguée au jumelage et aux relations internationales, a retracé, devant une large assemblée composée d’élus et de responsables associatifs, les étapes importantes de la coopération franco-allemande à Lunéville : du jumelage avec Schwetzingen, officialisé le 21 septembre 1969, à la création de la route paneuropéenne Stanislas en 2019.
Cette route, dédiée aux échanges transfrontaliers et au développement touristique (là où a vécu le dernier duc de Lorraine Stanislas Leczinski), était représentée par son président, M. Werner Euskirchen, venu spécialement de Zweibrücken (All).

L’école de musique a fait l’honneur de sa présence, en interprétant notamment l’Ode à la Joie de Beethoven, devenu l’hymne européen en 1972.

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